École et cinéma" propose aux enseignants des écoles maternelles et primaires de s'engager dans un parcours pédagogique et artistique autour du cinéma. Ce dispositif national a pour but de former l'enfant spectateur par la découverte active de l'art cinématographique. Il fait découvrir en salle de cinéma des films de qualité à de jeunes spectateurs et à leurs enseignants.
Cette année, notre classe ira voir trois films au cinéma de Ribeauvillé.
Le transport est pris en charge par la communauté de communes et le coût de chacune des séances par la coopérative scolaire.
Le transport est pris en charge par la communauté de communes et le coût de chacune des séances par la coopérative scolaire.
Les films au programme sont:
1. Le Chien jaune de Mongolie
Allemagne-Mongolie, 2005, 93 min, couleurs.
(Sorti en France le 1er février 2006) Version originale, sous-titres français, existe également en version française
La vie d'une famille nomade de Mongolie. L’attention que porte la réalisatrice aux gestes familiers de la vie domestique confère au film une dimension documentaire, voire ethnographique, et mêle la réalité la plus matérielle aux croyances les plus ancestrales.
Le Chien jaune de Mongolie est un film dans lequel la nature est captée avec beaucoup de faste et de sensibilité, une nature grandiose qui est toujours en harmonie avec les hommes.
A travers le personnage de Nansa, une petite héroïne entêtée et courageuse, Le Chien jaune de Mongolie fait l’éloge de la curiosité des enfants et de la force de leur imaginaire.
(Sorti en France le 1er février 2006) Version originale, sous-titres français, existe également en version française
La vie d'une famille nomade de Mongolie. L’attention que porte la réalisatrice aux gestes familiers de la vie domestique confère au film une dimension documentaire, voire ethnographique, et mêle la réalité la plus matérielle aux croyances les plus ancestrales.
Le Chien jaune de Mongolie est un film dans lequel la nature est captée avec beaucoup de faste et de sensibilité, une nature grandiose qui est toujours en harmonie avec les hommes.
A travers le personnage de Nansa, une petite héroïne entêtée et courageuse, Le Chien jaune de Mongolie fait l’éloge de la curiosité des enfants et de la force de leur imaginaire.
2. Le Voyage de Chihiro
Japon, 2001, 2h02, dessin animé, couleur, version française.
Réalisation: Hayao Miyazaki
Prix : Ours d’or, Festival de Berlin, 2002 ; Oscar du film d’animation 2002.
Le Voyage de Chihiro est sorti au Japon en juillet 2001 et a battu le record absolu d’entrées pour un film, au Japon, depuis l’invention du cinéma : plus de vingt-trois millions de spectateurs. Il a reçu, entre autres, l’Oscar du film d’animation et il est le premier film d’animation à avoir reçu l’Ours d’or au Festival de Berlin. Cela n’était jamais arrivé depuis sa fondation en 1952 ; au Japon, l’événement a fait la une de tous les journaux.
Ce film est ainsi, comme le dit avec raison Wanatabe Yasuchi, spécialiste japonais du cinéma d’animation, « la marque d’une prise de conscience internationale de l’incroyable degré de qualité atteint par l’animation japonaise depuis l’après-guerre. »
3. Le Petit Fugitif / Little Fugitive
USA, 1953
Format : 1,33 ; noir et blanc, durée : 77'
Réalisation : Morris Engel, Ruth Orkin, Ray Ashley
Sortie : présentation le 2 septembre 1953 à la Mostra de Venise, 6 octobre 1953 à New-York
Récompenses : Lion d'argent au festival de Venise en 1953, Nominé aux Oscars 1954, Oscar du meilleur scnérario, Ruban d'argent du syndicat de la critique italienne en 1954
Le Petit Fugitif est un film important dans l’histoire du cinéma indépendant, il a été réalisé dans des conditions économiques très modestes en faisant appel à des comédiens non professionnels et à une équipe technique réduite. Les historiens et les critiques de cinéma pensent que la Nouvelle vague française n’aurait pas eu lieu si ce film n’avait pas existé ! Et Alain Bergala le qualifiera même de « chaînon manquant du cinéma moderne », entre le néoréalisme italien et la Nouvelle Vague française. Ce film, très populaire aux Etats-Unis - son équivalent français pourrait être Les 400 coups de François Truffaut - est une immersion très réaliste dans un quartier de New-York qui se situe au bord de la mer : Cosney Island. En suivant les déambulations du jeune Joey, au milieu des manèges d'une immense fête foraine, le spectateur découvre une véritable tranche de vie de l’américain moyen des années 50. Le Petit Fugitif est un film d’aventures très atypique où le principe d’indentification joue à fond ! Un petit bijou de cinéma réaliste qui ne manquera pas d’émouvoir les plus jeunes spectateurs !
Réalisation: Hayao Miyazaki
Prix : Ours d’or, Festival de Berlin, 2002 ; Oscar du film d’animation 2002.
Le Voyage de Chihiro est sorti au Japon en juillet 2001 et a battu le record absolu d’entrées pour un film, au Japon, depuis l’invention du cinéma : plus de vingt-trois millions de spectateurs. Il a reçu, entre autres, l’Oscar du film d’animation et il est le premier film d’animation à avoir reçu l’Ours d’or au Festival de Berlin. Cela n’était jamais arrivé depuis sa fondation en 1952 ; au Japon, l’événement a fait la une de tous les journaux.
Ce film est ainsi, comme le dit avec raison Wanatabe Yasuchi, spécialiste japonais du cinéma d’animation, « la marque d’une prise de conscience internationale de l’incroyable degré de qualité atteint par l’animation japonaise depuis l’après-guerre. »
3. Le Petit Fugitif / Little Fugitive
USA, 1953
Format : 1,33 ; noir et blanc, durée : 77'
Réalisation : Morris Engel, Ruth Orkin, Ray Ashley
Sortie : présentation le 2 septembre 1953 à la Mostra de Venise, 6 octobre 1953 à New-York
Récompenses : Lion d'argent au festival de Venise en 1953, Nominé aux Oscars 1954, Oscar du meilleur scnérario, Ruban d'argent du syndicat de la critique italienne en 1954
Le Petit Fugitif est un film important dans l’histoire du cinéma indépendant, il a été réalisé dans des conditions économiques très modestes en faisant appel à des comédiens non professionnels et à une équipe technique réduite. Les historiens et les critiques de cinéma pensent que la Nouvelle vague française n’aurait pas eu lieu si ce film n’avait pas existé ! Et Alain Bergala le qualifiera même de « chaînon manquant du cinéma moderne », entre le néoréalisme italien et la Nouvelle Vague française. Ce film, très populaire aux Etats-Unis - son équivalent français pourrait être Les 400 coups de François Truffaut - est une immersion très réaliste dans un quartier de New-York qui se situe au bord de la mer : Cosney Island. En suivant les déambulations du jeune Joey, au milieu des manèges d'une immense fête foraine, le spectateur découvre une véritable tranche de vie de l’américain moyen des années 50. Le Petit Fugitif est un film d’aventures très atypique où le principe d’indentification joue à fond ! Un petit bijou de cinéma réaliste qui ne manquera pas d’émouvoir les plus jeunes spectateurs !
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